La lutte solitaire de Jakob Smits
(Fernand Bonneure) Septentrion - 1976, nº 3, pp. 73-84
Présentation du peintre néerlando-flamand Smits (1855-1928). Il appartient à l'impressionnisme, même si son œuvre est plus vivante et plus colorée que les grises toiles impressionnistes de l'École de la Haye. En 1888, il déménage à Mol dans la Campine anversoise où il travaillera jusqu'à sa mort. Il était le chantre de la vie rustique. Son impressionnisme opposait surtout la clarté et les ombres. Ses eaux-fortes en sont le meilleur exemple. A l'occasion du Jakob Smits" de Walter Vanbeselaere, Eds. De Vroente, Kasterlee, 1975."
Poursuivre la lecture de cet article?
Cet article est payant. Achetez l’article, ou souscrivez un abonnement donnant accès à tous les articles repris dans les plats pays.
Postez un commentaire
Se connecter