Pionnier et moteur de la coopération transfrontalière
Il y a trente ans, la province de Flandre-Occidentale et le département du Nord ont conclu un accord qui a marqué le début d’une coopération transfrontalière intense. Au fur et à mesure, ces deux partenaires ont constitué un axe très solide dans cette coopération et au fil du temps, la province a également intensifié la coopération avec le département Pas-de-Calais et la région Hauts-de-France.
Poursuivez la lecture ICI.
Aire-sur-la-Lys : préservée de la démolition
© Michaël Depestele
«Petite ville historique de caractère, aux nombreuses maisons anciennes, mais délaissées et délabrées.» C’est en ces termes que Jozef Van Overstraeten décrit Aire-sur-la-Lys. Un de ces lieux privilégiés à revisiter cinquante ans après la publication de son guide De Nederlanden in Frankrijk (Les Pays-Bas en France). Wim Chielens y a trouvé une petite ville incroyablement jolie, pleine de caractère.
Poursuivez la lecture ICI.
Il y un demi-millénaire, un Camp du Drap d’Or fastueux
À la fin du printemps 1520, la campagne calaisienne s’est transformée en une véritable petite ville éphémère sortie de nulle part. Le Camp du Drap d’or est resté dans les mémoires… plus pour son faste que pour ses conséquences politiques.
Poursuivez la lecture ICI.
De Lille à Trieste: Boris Pahor
© Claude Truong-Ngoc
Boris Pahor a survécu à la grippe espagnole en 1918 ainsi qu’aux camps de concentration allemands en 1944-1945. Il a souffert dans sa chair sous les trois idéologies du XXe siècle (le fascisme, le nazisme et le communisme) et les a toutes trois combattues. Aujourd’hui, à la table de sa cuisine qui surplombe le golfe de Trieste, il appelle, aveugle mais lucide, à un Parlement européen et, d’ici un siècle, à un parlement mondial qui ne tolérera guère que qui ce soit meure de faim.
Poursuivez la lecture ICI.
La pollution de l’Escaut: chronique d’une mauvaise communication
En avril 2020, une catastrophe environnementale sans précédent a frappé l’Escaut, tant du côté français que belge. La rupture d’une digue qui retenait les eaux usées a entraîné la mort par asphyxie de tonnes de poissons. Curieusement, cette pollution a surpris les Belges, car le système d’avertissement des autorités n’a pas fonctionné comme il aurait dû. Pourtant, les journaux français ont couvert la catastrophe. Chronique des faits.
Poursuivez la lecture ICI.