Aimée de Jongh, la bédéiste néerlandaise à la conquête du monde
© Dargaud
L’autrice néerlandaise Aimée de Jongh a impressionné le public francophone cette année avec ses livres Jours de sable et Taxi. Elle a d’ailleurs reçu le prix Ouest France 2021 pour Jours de sable. Sa carrière montre que l’appel historique des Néerlandais pour l’international n’a pas disparu. De Jongh se nourrit résolument de toutes les grandes traditions de la bande dessinée pour toucher un public qui dépasse largement les frontières de la néerlandophonie.
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La renaissance de deux sœurs écrivaines: Rosalie et Virginie Loveling
© Letterenhuis, Anvers
Peu de jeunes connaissent encore la poésie des sœurs flamandes Rosalie et Virginie Loveling. Pourtant, leurs poèmes se distinguent par une vision moderne de la société. Les Midis de la Poésie à Bruxelles et le Poëziecentrum de Gand ont demandé à huit poétesses contemporaines de réagir à l’œuvre des sœurs Loveling.
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Simon Vestdijk: «Esprit curieux et curieux esprit»
© Joël Cunin
À la fois classique et moderne, Simon Vestdijk (1898-1971) a fasciné, grâce à ses romans, plusieurs générations de lecteurs. Il est grand temps d’en redécouvrir certains, ne serait-ce qu’Un fou chasse l’autre, ou encore d’inciter un éditeur à publier en français un ou deux autres de ses chefs-d’œuvre, par exemple De ziener (Le Voyeur), porté à l’écran aux Pays-Bas, et De filosoof en de sluipmoordenaar (Le Philosophe et l’assassin).
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Une promenade bilingue dans le paysage littéraire belge
Souvent les littératures de langues néerlandaise et française en Belgique sont présentées comme deux mondes distincts qui se tournent le dos. Pourtant, les points communs et chevauchements sont nombreux dans l’espace littéraire belge. Les étudier peut être particulièrement fascinant. Le monde universitaire semble enfin s’en rendre compte.
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Betül Sefika: Cultures
© Tinde van Andel, Naturalis Biodiversity Center, Leiden, Photo: Marlies Lageweg / Marianne Hommersom
18 jeunes écrivains de Flandre et des Pays-Bas donnent la parole à un objet de l’exposition Slavernij (Esclavage) du Rijksmuseum à Amsterdam. Pour son poème visuel, Betül Sefika s’est inspirée d’une tige de riz de la variété Ma Sapi, qui descend directement des graines de riz transportées clandestinement d’Afrique au Suriname par la femme esclave Sapali.
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