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Un jeune Flamand apprend le français: Ohain
Est-ce le deuxième confinement qui me pèse? Ou la noirceur des jours? Un peu des deux peut-être? Je ne sais pas, mais je ne peux le nier: ces derniers temps, je suis aux prises avec la nostalgie. De plus en plus, je songe à Ohain, là où j’ai passé mes étés de 1971 à 1975.
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