
L’antisémitisme n’a jamais totalement disparu en Europe
Le malaise actuel qui affecte le monde s’accompagne d’une nouvelle vague d’antisémitisme.
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Miroir de la culture en Flandre et aux Pays-Bas
Dans ses chroniques, la journaliste et autrice Hind Fraihi s'intéresse à des sujets de société des Plats Pays qui suscitent la réflexion.
Le malaise actuel qui affecte le monde s’accompagne d’une nouvelle vague d’antisémitisme.
Un fil conducteur flagrant traverse le débat sur la décolonisation.
On
peut bel et bien favoriser une prise de conscience flagrante de
privilèges qui ne nous rende pas aveugles à des formes modernes
d’esclavage.
Le gouvernement flamand compte faire des économies rigoureuses sur la culture dans les années à venir.
L’extrême droite utilise les réseaux sociaux comme une chaire du haut de laquelle elle laisse libre cours à ses récriminations contre la gauche et les «excès» de la société.
Dans aucune autre discipline le «Gender Pay Gap» ne se fait sentir aussi fortement que dans le football et le cyclisme, deux sport très populaires dans les Plats Pays.
Les extrémistes de Flandre et des Pays-Bas continuent de dialoguer, principalement en ligne. Mais le front radical néerlando-flamand a des ambitions qui vont manifestement plus loin.
Ne clamez pas que «c’est le retour des années 1930», écrit Hind Fraihi. Une telle mise en garde est contre-productive et risque d’acquérir le statut de fruit défendu.
Hind Faihi pense que pour combattre la violence islamiste de rue, il faut être intransigeant dans les principes mais pondéré dans les mesures à adopter.
Pour Hind Fraihi, Il est urgent que le nouveau mouvement de blacktivisme abandonne son orientation identitaire.
Selon Hind Fraihi l’islam radical continue de gagner du terrain.
Il est marquant de constater comment une lutte contre la supériorité est menée à partir d’un certain sentiment de supériorité, écrit Hind Fraihi au sujet du mouvement Black Lives Matter.